Sexe : Race : Djinn Pouvoir : Feuer Handhabung Age : 17 ans Classe : 3°A
Liberté provisoire
Cela faisait deux mois, deux long mois que Kaelia était arrivé à l’école. Enfin c’était plus une prison qu’une école pour elle, chambre ultra-sécurisé et horaire spécifique d’entrer et sortie. Sans parler des fouilles à chacun de ses allées venues. Il a déjà fallu ces deux mois pour qu’elle s’habitue assez à sa nouvelle condition et pour comprendre les règles qui régissent cet endroit. Il est vrai que la jeune pyromane a d’abord ressenti un profond manque car avant de l’envoyé ici, on lui à tout enlever sauf ces stylos… des vêtements et une partie de son matériel lui permettant de fabriquer quelques trucs, d’occuper ses mains. La jeune femme a donc reçu, enfin l’autorisation de visiter la ville entre ses heures de cours et l’heure de couvre-feu.
Il était temps vraiment temps que je sorte de cette école. C’est à la limite de l’insupportable et même si je sais que je dois me sentir privilégier d’être là et non dans une cellule de prison. Mais bordel je viens de passer deux mois insupportables, bien que mes jours d’isolement m’ont fait un bien fou. Ne pas avoir de contact avec les autres est assez calme et j’avais encore de quoi bricoler.
Alors aujourd’hui je peux enfin sortir ! Et à vrai dire j’ai besoin de faire des achats, déjà parce que j’ai plus rien à bricoler et j’ai besoin… d’un briquet ! Il me faut un briquet où de quoi en fabriquer un car jamais ils ne me laisseront entrer avec des allumettes c’est animaux là. Je n’ai pas pris la peine de me changer, de passer par cette résidence des enfers. Et puis le temps m’est compté. Alors je pars en ville, peut-être un peu trop pressé car… je ne connais pas Londres. Je veux dire j’ai passé trois jours dehors puis j’ai été arrêté. Je ne sais donc absolument pas où je vais… je passe dans les rues, les quartiers en faisant tourner entre mes doigts les différents niveaux du rubick’s cube. Très rapidement je me retrouve dans un endroit proche d’un grand fleuve, la tamise il me semble d’après mes cours de géographie, mais ça ne m’avance pas vraiment. Il y a beaucoup d’eau ici… c’est en quelque sorte jolie. Mais ça serait plus jolie… avec des flammes se reflétant dedans. Ça semble assez… calme en tout cas. Mais je ne vois pas trop genre pas du tout où je suis et je suis absolument incapable de rentrer à l’école. Me voilà dans de beaux draps comme on dit. J’ai déjà un glaive flottant au-dessus de ma tête manquerait plus que je me le plante moi-même.
Je regarde un peu à droite à gauche, mais la tête ailleurs et je me sens choquer quelqu’un. Une fille un gars je ne sais pas trop mais mon rubick’s tombe et je m’exclame.
-Scheiße
En effet la jeune lycéenne n’avait pas vraiment fait attention à son environnement remplit de personnes de tout âge. Après tous les rues étaient très actives à cette heure qui plus ais par un si beau temps dénué de nuage.
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Edelweiss L. Wintenberger
S |:| Licence 2
Edelweiss L. Wintenberger
Edelweiss L. Wintenberger
Sexe :
Identité de genre :
Apparitions : 933
Inscription le : 05/03/2018
Né(e) le : 22/12/2002
Age : 21
Taille / Poids : 1m66 / Autour de 53Kg
Nationalité : Franco-Allemande
Situation amoureuse : En couple
Couleur(s) de parole : #9966CC
Péché(s) :
Avarice
Colère
Commentaire/citation : « Du siehst aus wie Juwelen... »
Sexe : Race : Djinn Pouvoir : Feuer Handhabung Age : 17 ans Classe : 3°A
Fallait que ce soit une femme.
J’entends ce son familier de l’allemand, hors en cours depuis quand je n’avais pas entendu ça ? Cette personne semble parler bien, je veux dire il n’y avait pas d’hésitation dû à un quelconque manque de vocabulaire ou de recherche de conjugaison. Je me redresse et la regarde longuement avant de me rendre compte que je suis rentré… dans une femme… mon côté timide me fait d’abord reculer, c’est loin de mes habitude d’aller vers les femmes. Je regarde mon rubick’s cube et le prend finalement doucement. je réponds toujours dans ma langue natale assez rassurer de ne pas être obligé de parler anglais.
-Merci… et heu désolé.
Qu’est qu’elle pouvait bien dire d’autre ? Elle se remet à faire tourner les faces de son objet avec frénésie entre ces mains. Elle remarque vaguement l’animal qui semble qui être avec elle. La jeune pyromane secoue alors doucement la tête. Elle a beau ne pas être ce qu’on appelle un modèle de vertu elle reste assez gentille lorsque personne ne lui retire sa distraction du moment et cette fille venait de lui rendre. Et malgré tous ses aprioris sur la gente féminine elle n’avait absolument aucune raison de mal lui parler là de suite. La demoiselle se racle alors la gorge doucement.
-Merci, encore et vraiment désolé de t’avoir bousculé. Je ne regardais pas où j’allais.
C’est peu de le dire d’ailleurs, je me suis bien perdu je ne sais absolument pas où je suis, je suis agacé, je suis fatiguée de cette ville pleine de non-sens. Je rassemble un peu de courage pour lui demander une information. Avec un peu de chance… je n’aurais pas droit à un discours hypocrite ou hautain ou je ne sais pas trop quoi… qui risquerais de provoquer chez moi un retour en arrière.
-Excuse-moi, mais je cherche un bureau de tabac ou un endroit où je peux me procurer un briquet ?
J’ai besoin d’un briquet assez spécial, facile à démonter… pour le faire rentrer dans l’école. La vitesse à laquelle je fais bouger mes doigts accélère, cette occupation devient tout juste acceptable au vu de ma difficulté à ne pas juste partir loin. Sauf qu’en vrai je me vois mal demander mon chemin à quelqu’un dans la rue… sauf si je me laisse m’ennuyer ? Mais ce n’est pas mon chemin que je risque de demander dans ces conditions. Et c’est déjà bien assez compliqué pour moi d’avoir autant de restriction… sans que j’aille m’infliger quelques jours en isolement pour juste mettre perdu dans Londres… Quitte à souffrir autant que ce soit pour une bonne cause. Là-bas je n’ai rien pour m’occuper, absolument rien, le lit est tout juste bon à démonté et encore sans outils c’est plutôt peine perdu…
Donc en résumé si cette fille pas méchante, ni insupportable, je pourrais peut-être lui demander le chemin du lycée ? À bien la regarde de premier abord comme ça elle ne ressemble pas vraiment à la pouffe de service. Elle surement à peu près mon âge avec des traits plutôt jolis en soit, fins. Et de sacré cheveux. Cette fille n’a probablement rien à envié à celle qu’on voit dans les magazines. Mais encore une fois-là de suite son physique est dans un sens le cadet de mes soucis, la présence d’un cerveau fonctionnel et non lessiver par contre serait bienvenue.
Il n’y a pas à dire la pyromane à toujours autant de mal à voir des femmes sans se poser toutes ces questions. Est-ce dû à un traumatisme ? Probablement, l’idée même de la femme de sa façon de se fondre en générale dans la société était inquiétante pour la jeune fille. Kaelia, ne montre pas ces doute sur son visage elle avait juste esquissé un léger sourire. Seul la vitesse à laquelle elle use de son rubick’s cube était anormal.
Mais rapidement elle cesse de jouer avec le rangeant dans sa petite sacoche et à la place sort un petit tournevis cruciforme et ce qui semble être une sorte de mini radio ou peut-être est-ce un tokiwoki ? Quoi qu’il en soit elle se met à le démonter au milieu de la rue attendant sa réponse, son esprit semble ailleurs mais pourtant elle écoute bien et bel.
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Fire
Allemand, cette fille avait encore parlé allemand et pas comme une de ces personnes apprenant les bases de la grammaire. Ça me détend un peu… d’avoir un vrai échange avec une fille qui de toute apparence est Allemande ou connait l’allemand très bien depuis plusieurs années. Je la suis alors plutôt silencieuse je l’admets. Malgré la barrière de la langue qui est absente, je ne suis vraiment pas à l’aise avec les femmes. C’est toujours compliqué de les comprendre, pourquoi elle sourit ou pas. Est-ce que c’est sincère ou pas. Si je devais donner une définition au diable les femmes seraient parfaites. Parfois douce délicate et attrayante, parfois rude, espiègle, destructrice c’est comme vouloir marcher sur un fil situé à m d’altitude sans filet en bas.
Et bien là c’est exactement la même chose avec elle. Je ne sais pas trop où mettre les pieds. Cependant une fois devant le bâtiment je le regarde longuement et je regarde également ce qu’il y a autour, je prends un peu plus de temps que la normal à mémoriser les lieux et les chemins, mais j’arrive à le faire. Je vois en effet des briquets sur le petit comptoir. Je la remercie donc stoppant un instant de jouer avec l’engin dans mes mains.
-Merci, Je sais que c’est beaucoup demander. Mais est que ça te dérange pas de rester un peu… je connais pas du tout la ville et je suis contrainte à un couvre-feu pour mon école… alors certes ce n’est pas tout de suite mais je ne sais absolument pas comment y retourner.
Ce n’était peut-être pas si compliqué que cela… je me sens légèrement soulagé d’avoir réussi à lui demander cela. Je veux dire c’est bien la première fois de ma vie que je demande de l’aide à une femme. Et par-dessus tout… la conversation n’a rien à voir avec une nana jalouse qui m’agresse car je me suis fait son gars. Est-ce que c’est de ma faute si elles ne sont pas assez satisfaisante et que leur compagnon va voir ailleurs… Du coup je ne suis pas dans une situation ou je propose à cette étrangère d’aller dans un lit avec moi… ce qui en soit est une situation nouvelle et vraiment intrigante. Je me rends compte que ça ne sert à rien de rester planté là aussi.
-Heu j’arrive enfin si ça ne te dérange pas !
Je rentre alors en vitesse dans bureau de tabac, je regarde les briquets… zippo, briquet classique avec le gaz liquide… j’en prends différent types, trois briquet différent. Dans mon esprit je vois déjà comment les démonter en faire des morceaux d’apparence innocent pour entrer dans le lycée avec. Je n’avais pas regardé leur esthétisme car c’est sans intérêt profond dans un lieu où tous mes faits et gestes son épié. J’en range deux dans mon sac et en ressortant je joue avec le troisième, je l’allume et je sens une vague de soulagement. Du feu enfin… je reste un instant fascinée oubliant qu’elle m’attend peut-être. Ce feu est beau, ça m’avait manqué, vraiment beaucoup, cette couleur orangé. Je laisse un doigt glissé dessus, passé à travers. Je n’arrive pas trop à me faire à cette idée de ne pas être brûlé mais je n’en suis que plus proche… plus sensible. Une brise de vent passe alors et éteint la flamme me faisant reprendre conscience. Je regarde alors autour de moi cherchant des yeux ma compatriote allemande.
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Ceci est un aurevoir
Je la dérange, je la dérange beaucoup ça se voit… je me mordille la lèvre. Je secoue alors doucement la tête.
-Désolé de te déranger ainsi, je vais me débrouiller toute seule. Merci quand même.
Je ne compte pas la retenir, loin de là, je ne veux pas l’obliger à quoi que ce soit. Elle m’a déjà un peu guidé mais sa manie de regarder son téléphone que ce soit pour des messages ou un horaire. Elle a peut-être un copain ou un rendez-vous je n’en sais rien. Mais malgré ma joie interne d’avoir trouvé une camarade Allemande, sa froideur et cette sorte de façon d’aider plus par gentillesse qu’autre chose.
-Merci encore pour m’avoir indiqué le bureau de tabac.
La jeune pyromane s’incline simplement, poliment. Elle ne cherche pas plus. Elle est résolu à se débrouiller seule. Après tout quelqu’un lui montrera bien comment rentrer à l’école ou elle retrouvera son chemin. Il suffit simplement de trouver un plan. La jeune fille s’en va alors, laissant l’allemande retourné à ses occupations, après tout il ne fallait pas grand-chose pour Kaelia se retrouve mal à l’aise et elle n’a pas vraiment envie aujourd’hui de s’attirer des ennuis, ayant déjà d’autre soucis en tête. Tel que comment démonter les briquets pour les faire rentrer dans le lycée et également comment sortir le plus vite possible de sa résidence sous haute sécurité. Car il ne faut pas mentir, son isolement de l’extérieur à son arrivé lui a fait le plus grand mal.
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